Rue St-Hubert, 14 5590 Ciney

L'histoire de l'ET

Les premiers pas : Ecole industrielle et commerciale

Brochure des 50 ans de l'ET


Au début du 20ème siècle, Ciney possède un tissu industriel non négligeable ; de nombreuses industries y ont pris racine ; on y fait des poêles, des tuyaux en fonte, des faux et même des lits pour l’armée belge.
Deux de ces industries deviendront de véritables usines, « Les Forges » et « la Fonderie » ; cette dernière réalise des tuyaux en fonte exportés en Russie à Saint-Petersbourg en 1914.
Les différentes entreprises ont un grand besoin d’ouvriers spécialisés qu’elles ne trouvent pas nécessairement sur place ; c’est ainsi que la nécessité d’une école technique locale apparaît.

 La fonderie

      Les forges                  

Au cours du XIXème siècle, les forgerons et les maréchaux-ferrants de Ciney et du Condroz entreprennent la fabrication des poêles de cuisine en acier et en fer forgé. La réputation du produit se propage rapidement au-delà de la région wallonne.
Avec la révolution industrielle, l'artisan isolé est dans l'impossibilité de se procurer des machines qui lui permettent d'économiser main-d'œuvre et force et d'acheter des matières premières en grande quantité pour les obtenir à plus bas prix

C'est le mérite des fondateurs des « Forges de Ciney » d'avoir pensé, après la guerre de 1914-1918, à regrouper en un atelier plus important toutes ces activités isolées.
Carrière du Crahiat (fonderie)

En 1902, l’Abbé Achille KNOOD est désigné comme vicaire à Ciney ; originaire d’Havelange, il s’occupe très vite des œuvres sociales chrétiennes. Il est, avec Monsieur CHAPU, le créateur de ce qui deviendra l’E.P.C. (Economie Populaire Ciney)
Il crée des centres où l’on apprend le travail du bois et des métaux pour les jeunes hommes et les travaux « féminins » pour les jeunes femmes. C’est le point de départ de l’Ecole Industrielle et Commerciale (EIC) de Ciney à la rue des Champs et de l’Ecole Professionnelle Féminine dans cette même rue.

En 1948, les bâtiments étant devenus trop petits pour les deux écoles, l’EIC s’installe dans les locaux des RP Capucins ; elle y restera dix ans avant de revenir à la rue des Champs en 1958 dans les locaux laissés vides par le départ de l’Ecole Professionnelle Féminine.

En 1959, nouveau déménagement vers l’Ecole des Frères dans la nouvelle école technique, les locaux de la rue des Champs étant affectés à une extension des services de la Mutualité Chrétienne.

L’EIC a été reconnue par Arrêté Royal le 10 septembre 1934 alors qu’elle existait en fait depuis plusieurs années. Les cours se donnaient de 17h00 à 20h00 en semaine et le dimanche matin à raison de 13 heures par semaine ; cela donnait un cursus de 1248 heures sur trois années à l’issue desquelles les élèves qui réussissaient obtenaient un certificat et diplôme B 5.

L’école comptera jusque 120 élèves venant de Rochefort, Jemelle, Purnode, Durnal, Florée, Havelange, Ohey, Marche, Villers sur Lesse et bien entendu de Ciney et de tous les villages voisins.

Les élèves étaient des fils de cultivateurs et d’ouvriers travaillant à Ciney. Quelques années après la deuxième guerre mondiale, l’EPC, la Fonderie et Les Forges donnèrent des primes d’encouragement aux élèves qui travaillaient chez eux la journée.

Mais cela ne suffit pas, la population scolaire diminue de plus en plus vite, une des raisons majeures étant l’ouverture de nombreuses écoles techniques du jour à Marche, Jemelle, Dinant et Ciney pour ne citer que celles-là.

 


L’EIC comptera plus de dix professeurs, très souvent issus des industries locales ; ils dispensaient leurs savoirs dans trois sections : la mécanique et la mécanique automobile, l’électricité et les moteurs électriques avec l’électronique et la radioélectricité, la peinture et la décoration et le bâtiment .

 

 

Quand aux directions successives, il y eu d’abord le fondateur l’Abbé Achille KNOOD devenu Chanoine ; quand il quitte la direction, il devient président du Comité Organisateur et continue à dispenser des cours jusqu’en 1956.
Il est remplacé par Mr Fernand DEPASSE qui enseignait à l’EIC depuis 1937. Prisonnier de guerre, il est remplacé par Mr Victor BARBEAUX de 1940 à 1945. IL reprend ses fonctions après sa libération, fonction qu’il occupera jusque la fin de l’école.

Le neuf décembre 1956, Mr Jean BURCKEL, professeur d’électricité et d’électronique recevait la médaille civique de première classe pour ses 25 ans de service à l’école ; il était entré en fonction en 1930.
En 1957, ce fut le tour de Mr Léon GIGOT d’Anseremme de recevoir la même distinction ; il enseignait la peinture et la décoration depuis 1931.

Les notes historiques sont extraites des archives que l’on a pu retrouver à l’école et sur le site web de la Commune de Ciney
Les programmes des cours étaient très chargés et d’un niveau très élevé.

Four à chaux

 


         

Tanneries

 

 

             

La gare

 

José NOEL

Au fil du temps qui passe


Si le point de départ de l'Ecole Technique se situe en 1959, une tradition déjà bien ancienne avait précédé cet événement. En effet, c'est en 1844, c'est-à-dire il y a cent quarante années, que des Frères des Ecoles Chrétiennes fondèrent leur première communauté à Ciney et s'y virent confier la charge de l'enseignement communal. L'école était installée à l'angle de la rue Saint-Pierre et de la rue de l'Hospice.

En 1856, elle s'implante à la rue Courtejoie, devient Ecole Libre et se développe. C'est ainsi qu'en 1881, s'ouvre la première année de l'école moyenne qui, au fil des ans, comportera quatre années d'études; ainsi débute l'enseignement secondaire.

En 1951, un prêtre exceptionnel manifeste à l'égard de l'oeuvre d'éducation des Frères, une attention caractérisée par une action débordante et clairvoyante. Monsieur le Chanoine Doyen BEKA réalise d'importants investissements immobiliers qui permettent à l'Institut Saint-Joseph de s'épanouir. Dès 1952, sortent les premiers élèves de Scientifique. Les difficultés matérielles sont énormes, d'innombrables bienfaiteurs et collaborateurs s'attachent à les résoudre.

 


1959 marque une étape importante dans la vie de l'école; il s'y crée deux nouvelles ouvertures, une section Latin Grec et une Ecole Technique du niveau secondaire inférieur « Electromécanique », car une poignée d'hommes décidés osent.

Monsieur le Chanoine Doyen Maurice BEKA et le Cher Frère Visiteur Henri GOBEAUX, bientôt secondés par le Cher Frère Isidore LAMBO, premier Directeur, se lancent dans les démarches administratives et financières et dans les constructions qui vont nous abriter.
Nouvelles classes et ateliers pour l'ouverture de l'école technique secondaire inférieure (A3) sous la direction du Frère MAUBERT

L'on met les bouchées doubles, puisque deux classes s'ouvrent : une première et une deuxième années A3 avec 25 élèves.

     

 


 

 

 

 

L’histoire des débuts de l’école technique a été longuement racontée par M Jules LEROUX, à l’occasion du 25ème anniversaire en 1984. Cette histoire est reprise dans la partie du site "Après 25 ans"

En 1961, le Cher Frère MEDART – MAURICE (Louis HOCQUET) devient directeur général de l’Institut

En juin 1962, sortent les quatre premiers diplômés de 4 A3.

 

En 1962, ouverture de la section technique secondaire supérieure spécialité « électromécanique » (A2).

 

 

 

Le Frère MARC AUGUSTE (Pierre EFFINIER) remplace le Frère MAUBERT à la direction de l'école technique.

 

 

En 1964, ouverture de « l'Internat "Paix et Joie » dans les locaux achetés au couvent des Pères Capucins.


 

 

En 1965, neuf élèves reçoivent leur diplôme et constitue ainsi la première promotion du degré supérieur.

En 1965, Le Frère MEDARD (César SOYER) devient directeur de l'école technique.

En 1967, Mr André PETITJEAN devient directeur de l'école technique.

 


Dès 1968, le Cher Frère Charles SANDRON, Président du Pouvoir Organisateur, le Cher Frère MEDARD, Directeur et Monsieur André PETITJEAN, Directeur, se lancent dans l'enseignement professionnel. L'école propose à partir de la deuxième année, une section « Soudure » qui diplômera dès la quatrième année d'études et débouchera sur une cinquième année de spécialisation « Chauffage central ».

En 1969 : 10ème anniversaire 250 élèves

En 1970 le Cher Frère MENANDRE Luc devient le directeur général de l’Institut

 

En 1971 : Ouverture d'une 5° année professionnelle orientation « chauffage central ».
Une nouvelle ère commence. A la demande de l'école, la Fédération Nationale de l'Enseignement Technique Catholique l’autorise à passer de l'enseignement traditionnel au rénové, dit aussi type I.
A côté de ce qui existe, on voit fleurir une classe de première accueil; l'année suivante, des options polyvalentes en deuxième année de l'enseignement technique et professionnel; on parle de degré d'observation.

 

 

 

 

 

 

André PETITJEAN offre à tous les enseignants un ouvrage qui n’ira pas sans nous surprendre : La pédagogie Paléolithique


En 1973Mr Jean-René MIGNOLET remplace Mr André PETITJEAN détaché à la Fédération de l'Enseignement Catholique.
Cette même année voit s’ouvrir le degré d'orientation, puis en 1975, le degré de détermination. Les nouvelles orientations deviennent de nouveaux fleurons.

 

Dans l'enseignement technique,


au degré inférieur
en qualification technique (finalité) on trouve la mécanique et l’électricité
en transition technique on a les deux scientifiques industrielles : électromécanique et construction


au degré supérieur
en qualification technique on a l'Electromécanique qui côtoie le Dessin de construction.

 

Dans l'enseignement professionnel qui se poursuit alors jusqu'en sixième année on trouve


au degré inférieur
en qualification professionnelle on a le même type d’orientation avec la mécanique soudure et les installations électriques


au degré supérieur
en qualification professionnelle on forme des électriciens (industriels) et des soudeurs chauffagistes.


C'est ainsi qu'en 1977, l'Ecole Technique diplôme dix-sept étudiants. Fini les diplômes, ils font place à de nombreux certificats

 

      



Le nombre d'élèves du début s'accroît, le nombre de professeurs également, mais aussi les besoins en locaux de classes et surtout en locaux spécialisés, laboratoire, salle de technologie, salle de dessin, ateliers et les équipements nécessaires.

 

C'est pourquoi, en association avec l'Enseignement Général, puis avec l'Ecole Maternelle et Primaire, et grâce au Fonds de Construction des Bâtiments Scolaires, l'Ecole Technique participe activement à la construction d'un complexe qui abrite le hall omnisports, un réfectoire et des classes, en 1977-1978 et d'une nouvelle Ecole Primaire en 1978-1979.

On peut rappeler que l'histoire de l'école technique est indissociable de celle des autres sections et plus particulièrement de celle de l'enseignement général

 

En 1979, L’école primaire laisse ses bâtiments inaugurés en 1969 au premier degré du secondaire et entre dans ses nouveaux locaux

Fin des années 70, deux particularités dans la formation: certificat de connaissance de gestion en 6 P et brevet de sécurité et hygiène en 6 P et 6 Tq

En 1980, Mixité en 1ère rénovée.

L’association des parents de l’école technique prend un essor important avec des délégués de classe un peu partout.
Ils étaient sollicités lors de la première réunion de parents du mois d’octobre. Les titulaires réunissaient tous les parents lors de cette première réunion pour susciter des « vocations » à l’association.


En 1984, 25° anniversaire de l'école technique 360 élèves

voir la partie après 25 ans

      
 

En 1986, Nouveau bâtiment de dix classes de 1ère.


En 1988, Fondation du CENTRE DE TECHNOLOGIES NOUVELLES NAMUR LUXEMBOURG autour de l’Institut Supérieur Industriel PIERARD de VIRTON.  Jean-René MIGNOLET en sera le premier président.


M André PETITJEAN, nous projetant dans l’avenir, met en place, avec les directions des trois sections, un Fonds financier des constructions scolaires pour en faciliter les remboursements et permettre au moment opportun de construire à nouveau suivant nos besoins et nos capacités.

En 1989, décès de Mr Jean-René MIGNOLET, Mr Daniel JOB devient directeur de l'école technique.

Ouverture de classes de 7ème professionnelle, spécialité « automation » avec l’obtention d’un CQ7 et aussi rapidement du CESS

 


En 1990, première promotion de 7ème professionnelle « automation »

Michel MOTTE aura enseigné dans toutes les classes de la 2ème P à la 7ème P

L’association de parents, quelque peu en veille redémarre.

 

 

Début des années 90, mise en place d’un groupe de coordonnateurs, issu du conseil de direction patiemment mis en place par Jean-René MIGNOLET au milieu des années 70

 

En 1991, ouverture du deuxième degré de qualification « Techniques Sciences » du secteur Sciences
Restructuration des orientations « mécanique » et « électricité » au 2ème degré de qualification ; elles sont remplacées par l’ « électromécanique »

Petite révolution, on change de secteur ; Monique BRUMENIL, Benoît PIRLOT, Françoise Leclercq démarrent l’option
Pour les options techniques industrielles, le tandem Jules LEROUX, José NOEL a géré depuis le début anciennement les 4 A3
puis 2ème degré finalité et enfin 2ème degré qualification

 

En 1992, premier coup de canif dans les périodes professeurs avec le nouveau mode de calcul initié par le Ministre de l’époque Elio DI RUPO

 


En 1993, ouverture du troisième degré de qualification « Chimie Appliquée » faisant suite au 2ème degré.

Myriam LATOUR, Isabelle MIGNOLET, Bernadette DARVILLE, Léon MAILLEUX lancent l’option

 

Construction de nouveaux locaux et ateliers dans le prolongement de l’aile des 2ème avec l’aide des autres sections : école maternelle, école primaire, enseignement général



En 1995, première promotion de 6ème qualification orientation « Chimie Appliquée »

 

En 1996, avec le décret « Missions », instauration progressive suivant élections, d’un conseil de participation reprenant des membres du Pouvoir Organisateur et de la direction, du personnel enseignant syndiqués et non syndiqués, des délégués des élèves, des parents, du personnel ouvrier et de représentants de la paroisse et du monde des entreprises. Le conseil de participation donnera le jour au projet d’établissement.


Décret supplémentaire qui rationalise de manière drastique le fonctionnement des écoles sous la « houlette » de la Ministre Laurette ONCKELINCX


On baptise les différents blocs du site

  • Archimède : premier degré classes de 1 A
  • Béjart : premier degré classes de 2 C, 1B, 2P
  • Gramme : (à l’origine le bâtiment des latines) 2ème degré technique et professionnel
  • Château : 3ème degré technique et professionnel jusqu’en 1998
  • Horta : les annexes du château : laboratoires d’électricité et mécanique et locaux de l’option dessin de construction et bâtiment
  • Newton : ateliers et laboratoires (bâtiment du départ)
  • Tellier : les garages à l’entrée à gauche du séquoia occupés successivement par des salles de dessin, la section chauffage, la section froid industriel
  • Conciergerie : qui sera successivement l’aumônerie, les bureaux de la direction et puis une conciergerie


Au cours des années 1990, suppression des épreuves de qualification au deuxième degré technique et professionnel et remplacées par un brevet école.

 

En 1998, ouverture d’une deuxième spécialité en 7ème professionnelle « Froid Industriel ».


Yvon MARCHAL (chef d'atelier promoteur de l'option) , Jean DUMORTIER, Léon MAILLEUX sont à la barre


Pour le petite histoire Yvon et Daniel se déplacent en France à côté de FIRMINY (Saint-Etienne) pour commander du matériel didactique à la firme DIDATEC

 

Construction d’un nouveau bâtiment avec le concours de toutes les autres sections, école maternelle, école primaire, enseignement général, le long de la rue Vertevoie pour accueillir le degré supérieur de l’école technique et professionnel, le bien nommé PASCAL libérant ainsi le premier étage du château.


Ce bâtiment sera béni par le nouvel évêque Mgr LEONARD

 

En 1999, jumelage avec le lycée français Jacob HOLTZER de FIRMINY pour les stages LEONARDO


 

Début des années 2000, interdiction du redoublement pur et simple au cours du premier degré qui doit être parcouru en 3 années maximum, l’année complémentaire éventuelle faisant l’objet d’une guidance particulière visant à combler les lacunes de l’élève.
Revue d’information INFOR PARENTS disparaît pour faire place à ECHO-LE.

 

La fancy-fair traditionnelle a vécu ; elle est remplacée par les JOSEFÊTES qui comprennent 3 parties :

  • la journée Portes Ouvertes avec accueil des élèves de 6ème primaire
  • le tournoi de mini-foot challenge Bernard DESILLE 
  • une soirée Concert Chorales avec des groupes du fondamental, du secondaire et des groupes extérieurs.

 

Décret sur la formation des enseignants, du personnel auxiliaire d’éducation en inter-réseaux (IFC), dans le réseau catholique (FORCAR), et au sein du Pouvoir Organisateur.

Les écoles techniques ont accès aux plans d’équipements financés à 80 % par la Communauté Française et la Région Wallonne.


En 2002, constitution de la CCPQ (Commission Communautaire des Professions et Qualifications)
Tous les profils de formation sont revus et ajustés à l’évolution de l’emploi et de la formation. Ainsi la section « électromécanique », pourtant réclamée avec force par un nombre important d’entreprises est amenée à disparaître.
Le Pouvoir Organisateur se restructure pour devenir l’ Enseignement Secondaire Catholique Cinacien ESCC organisant les écoles secondaires de l’Institut de la Providence et de l’Institut Saint-Joseph.

 

En 2003, suite aux travaux de la CCPQ, les profils de formation vont changer d’année en année, les noms des options se transformer avec les programmes et se féminiser.
Participation au salon des étudiants à Namur SIEP comme « exposant »


Au troisième degré, l’option « électromécanique » qui a vu la naissance de l’école technique devient « mécanicien automaticien »
L’année suivante ouverture de l’option jumelle au troisième degré : « électricien automaticien »

 

En 2003 - 2004, tentative de restructuration des écoles secondaires catholiques amenant des changements de site scolaire ; sous la pression des parents, élèves et professeurs, la copie sera revue et reprise en 2006 pour constater l’échec en raison de la perte de nombreuses périodes professeurs.

 

En 2005, Mr Alain DEQUESNE remplace Daniel JOB à la direction

 

En 2006, ouverture d’une 7ème professionnelle « Installateur en Chauffage Central »

Dans la foulée au fur et à mesure
Transformation de la 7ème P Automation en 7ème « Complément en Maintenance d’équipements techniques »
Transformation de la 7ème P Froid industriel en 7ème Technique de qualification « Technicien en Climatisation et Conditionnement d’air »

 

En 2008, Mr Jean DUMORTIER remplace Alain DEQUESNE à la direction ; Alain DEQUESNE devient coordinateur du CTA (Centre de Technologies Avancées)


Ouverture d’une orientation supplémentaire au 2ème degré de qualification Techniques Artistiques du secteur Arts Appliqués

 

 

En 2008, création du Centre de Technologies Avancées CTA

Nouvelle structure du premier degré.
On entame la construction d’un nouveau bloc de laboratoires et ateliers (à côté du bloc atelier originel NEWTONTELLIER, libérant ainsi l’occupation du rez-de-chaussée du château et des ses annexes. Les « garages » sont démolis
Suppression du contrôle pour le CESS – Homologation des certificats

 

En 2009,  programmation du troisième degré Arts Appliqués avec l’option technique de qualification « Technicien en Infographie »